
Ensérune au-dessus des étangs
roi des ammonites sur son lit de calcaire coquillé
tu as drainé les eaux
le vent à pris ses quartiers au creux de ta plaine
comme un chien compagnon qui revient se rouler sur sa couche
arrondissant son dos près de l’oppidum
où sont tes villas romaines
tes champs de blé ta salicorne ?
aujourd’hui tes vignes grenache et sirah
descendent parmi la Clape et les trois moulins
tu retrouves ton souffle occitan
près des oliviers.
merci, un lieu que je connais pour y être allé sous toutes les saisons ( à ce sujet me massif de la Clape, ne prend qu’un seul « p ») !
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