
Fumay se poudre de décembre
un doigt d’éternité vers un ciel si gris
remarque que le vent de l’est est parti
Margot en frissonne encore
ici la Meuse sage comme une image
vient dans son idylle du silence border le paysage.
Fumay se poudre de décembre
un doigt d’éternité vers un ciel si gris
remarque que le vent de l’est est parti
Margot en frissonne encore
ici la Meuse sage comme une image
vient dans son idylle du silence border le paysage.
Je suis venu à la poésie par le biais de la photographie, je commente sous forme de poèmes des photos que j'ai réalisé lors de promenades dans la nature et ailleurs. Mon blog le plus visuel : https://friedphotopoemes.blogspot.com Voir plus d’articles